mercredi 28 décembre 2011

Étudiante en couches, la suite de l'aventure


Quelques semaines se passent, je croise régulièrement Emilie à l’école et nous déjeunons assez souvent ensembles. C’est une fille que j’apprécie beaucoup et que je découvre petit à petit. Elle a la délicatesse de ne pas aborder le sujet des tests que j’ai effectué sauf lorsque c’est moi qui ait abordé le sujet à une ou deux reprises. J’ai toujours une certaine curiosité sur certains points, notamment sur l’autre fille de notre promo qui a elle aussi fait ces tests. La confidentialité d’Emilie sur cette fille me frustre dans ma curiosité mais me ravie sur le strict anonymat respecté par le laboratoire, pour moi comprise. Le port des couches ne me manque pas mais la rémunération des tests m’avait bien aidé à améliorer significativement mon budget mensuel alloué par mes parents pour ma vie sur Lyon. D’ailleurs en cette fin d’année les nouvelles de ce côté ne sont pas très bonnes, l’entreprise de mon père étant en difficulté financière depuis quelques mois connait une fin d’exercice très difficile. Je m’en ouvre à Emilie avec laquelle je parle de tout sans difficulté. Elle est d’autant plus à même de comprendre la situation que ses propres parents sont très justes financièrement ce qui l’a amené très tôt à travailler pour le laboratoire Hartmann dans le cadre de ses études. Emilie m’indique qu’elle a une idée pour m’aider et qu’elle m’en parlera dès demain. Je lui propose donc de venir dîner à la maison le lendemain soir.
A 19H30 comme convenu, Emilie arrive à mon appartement. Nous prenons l’apéritif et Emilie rentre directement dans le sujet du jour. Elle m’explique que depuis la première année d’école, elle est en contrat avec le laboratoire Hartmann et que celui-ci lui met à disposition l’appartement qu’elle occupe à titre gratuit. Comme elle me sait en difficulté financière, elle peut me proposer de partager son vaste appartement dans le cadre d’un test du laboratoire et cela jusqu’à la fin de notre dernière année d’école en Juin prochain. Emilie m’indique qu’ainsi je pourrai faire l’économie du loyer de mon propre appartement en plus d’une rémunération prévue pour le test. L’idée est séduisante mais comme je pouvais le craindre il s’agit à nouveau d’un test de couches, une des spécialités du laboratoire Hartmann. Emilie m’explique que les couches de jour et de nuits que j’ai testées sont maintenant techniquement finalisées. Il s’agit maintenant de les éprouver sur une période de six mois avant leur mise sur le marché, démarche obligatoire dans le cadre de la règlementation. Devant ma mine un peu déconfite, Emilie me rassure d’un large sourire. Elle me rappelle que personne n’a rien remarqué lors des tests précédents et qu’en plus, le laboratoire tenant beaucoup à ce que je puisse faire ce test longue durée, m’accorde des conditions financières particulièrement généreuses. Je serai donc logée et rémunérée mais Emilie me précise aussi que je disposerai d’un large budget pour acheter des vêtements, jupes notamment adaptés au port discret de couches. Je demande par curiosité en quoi ma candidature était si recherchée par le laboratoire. Emilie me réponds avec une grande franchise que physiologiquement je fais pipi régulièrement et abondamment, en tout cas plus que la moyenne et que cela est favorable aux tests menés. De plus je suis célibataire et sans petit copain en ce moment ce qui est nécessaire car ce ne serait pas franchement compatible avec un test de couche longue durée. Je ne sais pas si je dois prendre ces éléments comme un compliment mais je suis partagée à l’idée de faire un test sur une aussi longue période. Emilie sentant bien que j’hésite me rassure et m’indique qu’elle aussi aimerait bien que je sois volontaire étant donné que nous nous connaissons bien et nous apprécions. C’est une dimension non négligeable je dois bien en convenir mais je demande à réfléchir au moins jusqu’au lendemain. Emilie acquiesce et nous passons à table.

Le lendemain, je recroise Emilie en cours. Elle me propose de venir dîner à mon tour chez elle pour que je puisse visiter ce qui pourrait être notre appartement commun dès Janvier. J’accepte avec plaisir n’étant jamais allé chez elle pour l’instant. Le soir même je découvre un vaste et bel appartement moderne situé non loin de notre école ce qui est pratique. Emilie m’accueille chaleureusement en me souhaitant une bienvenue chez nous ! Je lui réponds qu’elle anticipe un peu mais je pense qu’elle a compris que l’idée me séduit tout de même. Nous dînons sans évoquer le test puis nous passons au salon pour prendre une tisane. Emilie va chercher quelque chose dans sa chambre, il s’agit du contrat de test que le laboratoire à préparer à mon attention. Comme les précédents il est très long et détaillé, je demande à Emilie de m’en faire un résumé. Il s’agit donc de tester la gamme appelée « teen » constituée de changes de jours et de nuits comme ceux que j’ai déjà porté. Ce test se fera en continue ce qui signifie que je porterai des couches le jour et la nuit et que je serai changée à horaires réguliers.
Emilie me détaille ensuite les détails de la rémunération qui est effectivement très importante ce qui est un aspect non négligeable. Je lui donne donc mon accord et signe le document m’engagement sur ce test qui va durer jusqu’à fin Juin de l’année prochaine. Emilie se déclare ravie que ce soit moi étant donné la proximité entre nous que ce test longue durée va automatiquement engendrer. Nous discutons ensuite de mon emménagement qui se fera juste avant Noël pour qu’en revenant de vacances mes affaires soient déjà transférées dans notre appartement commun.
Les fêtes de fin d’années se passent en famille, mes parents étant ravis que je prenne cette colocation avec Emilie ce qui diminue significativement le budget qu’ils avaient besoin de m’allouer. Le Vendredi 2 Janvier je reprends le chemin de Lyon et de mon nouvel appartement, les cours reprenant le Lundi suivant. Arrivée Vendredi en fin d’après-midi sur Lyon je suis accueillie à la gare par Emilie venue à ma rencontre. Nous regagnons en bus notre appartement. Une fois arrivées, Emilie me remet un double des clefs et m’explique les détails de fonctionnement du chauffage, l’accès au sous-sol etc….
Mes affaires sont déjà rangées dans le vaste placard de ma chambre, dans la partie gauche là où je les avais disposées. En ouvrant la partie droite, je découvre que l’ensemble des rayonnages sont occupés par des couches. Des couches de couleur jaune pour la nuit, des roses pour les couches de jour. J’en avais presque oublié ce « détail » et la véritablement raison de ma présence ici. Emilie à mes côtés me souris et explique que le laboratoire a livré les changes nécessaires au test pour les deux premières semaines et que d’autres livraisons viendront nous réapprovisionner. Emilie referme la porte du placard et me suggère d’aller prendre un bon bain après avoir passé une partie de la journée dans le train. L’idée est bonne, je prends mon peignoir dans la penderie et gagne la vaste salle de bain. Je me fais couler un grand bain chaud et je m’y prélasse longuement. C’est avec regret que je sors du bain après une bonne demi-heure de barbotage mais je me dis qu’il est temps car je dois aider Emilie à préparer le dîner. Je me sèche et j’enfile mon peignoir pour regagner ma chambre et me rhabiller. Lorsque j’arrive dans ma chambre Emilie s’y trouve toujours. Elle semble m’attendre et jetant un coup d’œil sur le lit je vois qu’elle à préparer une couche, du talc, de la crème, bref le nécessaire pour me mettre en couche. Naïvement je lui demande si le test  commence tout de suite et Emilie me réponds que oui. Elle me demande de m’allonger sur le lit ce que je fais. Elle défait la ceinture de mon peignoir et en écarte les pans me découvrant largement. Constatant ma toison pubienne, elle se propose de me raser afin de prévenir toute irritation due aux couches que je vais porter. Me laissant ainsi allongée sur le lit, elle part en direction de la salle de bain. Elle revient avec une petite bassine d’eau, de la mousse à raser et un rasoir. Elle glisse une serviette éponge sous mes fesses et m’humidifie le pubis puis me dépose de la mousse qu’elle applique largement. Avec dextérité, elle commence à me raser méthodiquement. Elle termine l’opération en passant une lingette pour effacer les dernières traces de mousse. Mon peignoir est maintenant complètement ouvert découvrant non seulement mon entrejambe mais ne cachant plus rien de ma poitrine aux yeux d’Emilie. Celle-ci n’y prête pas vraiment attention, retirant la serviette sous mes fesses pour la remplacer par la couche de jour couleur rose qui m’est destinée. Je ne sais pas si c’est le fait de n’en avoir plus porté depuis la fin du dernier test mais elle me parait encore plus épaisse que dans mes souvenirs. Emilie me talc largement avant de m’appliquer de la crème sur le sexe et de refermer la couche. L’opération terminée, elle m’aide à me lever et m’enlève définitivement mon peignoir, se proposant de choisir avec moi les vêtements à me mettre dans ma garde-robe. Elle choisit pour moi un soutien-gorge de coton blanc, puis un tee-shirt, une jupe courte et un pull à col roulé. La jupe peine à masquer la large couche que je porte mais Emilie m’indique que cela n’a pas d’importance car il n’est pas prévu que nous ressortions ce soir. Emilie m’observe et se déclare satisfaite du « résultat ». Je suis pour ma part un peu plus circonspecte car la couche se devine sous ma jupe mais comme il n’est pas question de sortir ainsi c’est un moindre mal. Une fois debout, Emilie juge du résultat et relève ma jupe pour passer un doigt le long des élastiques de mes cuisses pour s’assurer qu’ils sont bien en place pour assurer l’étanchéité de la couche.
Nous préparons ensemble le dîner du soir, Emilie me propose de profiter de la journée de demain pour aller faire du shopping avec le budget du laboratoire afin de m’acheter des jupes adaptées aux couches ainsi que des culottes pour mettre par-dessus mes couches car je vais en avoir besoin quotidiennement.
J’adhère au projet afin de disposer d’un choix de vêtement suffisamment large pour ne pas trop attirer l’attention à l’école sur le fait de porter systématiquement les deux seules jupes que je possède aujourd’hui, capables de masquer les couches que je vais devoir porter. J’ai du mal avec le fait de reporter des couches, celle qu’Emilie m’a mise me semble de plus très serrée et ajustée et épaisse à l’entrejambe. Je demande à Emilie si elle est vraiment identique à celle que j’ai déjà testée. Celle-ci me réponds qu’elle a été effectivement renforcée en garniture à l’entrejambe et que les adhésifs sont beaucoup plus efficaces ce qui permet que la couche ne se détende pas avec les mouvements du corps et reste parfaitement positionnée sur les fesses de celle qui la porte. Elle ajoute qu’étant donné les gros pipis mesuré par le laboratoire de test sur les couches que j’ai porté, ces modifications devaient me rassurer sur l’efficacité anti fuite des couches que je vais porter de jour comme de nuit. Je n’avais pas fait la même analyse et c’est surtout l’épaisseur accrue des changes que je retiens et que ceux-ci vont gêner mes mouvements au quotidien.
 Le repas préparé, nous dînons de bon appétit puis nous discutons organisation de la maison pour nous répartir les tâches ménagères, les courses etc… Je vais être fidèle à ma réputation, réelle je dois dire, de grosse pisseuse car, déjà, j’envie envie de faire dans ma couche. Je me trémousse un peu sur le canapé ce qui n’échappe pas à Emilie qui me glisse malicieusement que ma couche est là pour cela. A ma grande surprise, elle me propose de voir en direct l’effet de que cela fait dans ma couche. Elle m’entraine devant la large glace de la salle de bain, et se plaçant dernière moi, elle relève ma jupe afin de découvrir entièrement ma couche puis me glisse à l’oreille que je peux maintenant faire pipi dans ma couche. Un peu surprise par cette initiative, j’obtempère cependant, ne pouvant pas me retenir de toute façon plus longtemps. Au fur et à mesure que je fais pipi dans ma couche je vois les témoins d’humidité sur le devant de la couche s’effacer progressivement marquant ainsi le fait que le change absorbe mon urine. Lorsque j’ai fini, force est de constaté que cela n’a pas réellement altérer la couche, toujours bien en place et ayant encore un gros pouvoir d’absorption. Aucune fuite, la couche est toujours très serrée à ma taille et à mes cuisses. Emilie tapote le devant de ma couche et se félicite de la qualité de ce change encore capable de contenir un autre pipi aussi important sans fléchir. Nous revenons ensuite au salon et je dois constater que la légère sensation d’humidité à l’entrejambe disparaît très vite, la garniture de la couche retenant parfaitement mon pipi même lorsque la couche est compressée dans la position assise qui est la mienne dans le canapé du salon. Dans le salon, nous préparons le programme de courses du lendemain. Emilie a des idées très précises des magasins que nous devons aller visiter pour trouver les vêtements qui me sont nécessaire, elle est beaucoup plus experte que moi dans ce domaine et je la laisse faire. Nous repérons sur internet un certain nombre de jupes, de culottes que je devrais essayer demain.
Déjà 22h00 et je ne peux refréner un bâillement. Emilie me propose de me changer pour la nuit et que nous allions nous coucher. Elle propose que je me déshabille et me mette en tenue de nuit et elle me rejoint dans quelques minutes pour me changer ma couche. Je me déshabille, enfile une chemise de nuit puis fait un détour par la salle de bain pour une rapide toilette et un brossage de dents. Je retourne dans ma chambre où Emilie toujours habillée, elle, m’attend avec une couche nuit ainsi qu’une sorte de culotte de plastique que je n’avais jamais vu. Elle me fait allonger sur le lit, retrousse ma chemise de nuit pour accéder à ma couche. Je la vois prendre une paire de ciseau, elle m’explique que les nouveaux adhésifs ne peuvent pas être défait à la main mais doivent être coupés tellement ils sont adhérents. Elle coupe les quatre adhésifs pour pouvoir ouvrir la couche et me l’enlever. Elle la place dans un sac plastique transparent fermé par un zip et destiné au laboratoire de test d’Hartmann. Elle glisse maintenant la couche nuit de couleur jaune pâle sous mes fesses après avoir nettoyé celle-ci et mon entrejambe à la lingette. Crème puis talc comme à l’accoutumé avant que la couche ne soit rabattue et fixée par les quatre puissants adhésifs. Elle glisse ensuite la protection de plastique épais sous ma couche, la rabat sur mon ventre et la fixe à l’aide de boutons pression. Emilie m’indique que c’est une protection supplémentaire de nuit sans doute pas indispensable étant donné la qualité de la couche mais qui est destiné à rassurer sur une éventuelle fuite de la couche. Cette protection plastique rajoute ou bruit fait par la couche lors des mouvements, heureusement qu’elle n’est destinée qu’à accompagner la couche de nuit et non celle de jour. Sur ce elle me souhaite une bonne nuit et quitte ma chambre.
Je suis gênée par la couche de nuit qui maintient mes jambes écartées par son épaisseur à l’entrejambe mais je trouve finalement le sommeil.
Au milieu de la nuit l’envie de faire pipi me réveille et je me résous à faire dans ma couche avant de me rendormir. Il est déjà 9h00 lorsque je me réveille le lendemain matin. Emilie plus matinale que moi est déjà habillée et a eu le temps de descendre dans la rue pour acheter pain frais et croissant. Elle me demande ce que je prends pour le petit déjeuner et je lui réponds qu’un thé sera parfait. Elle relève ma chemise de nuit pour inspecter l’état de ma couche. La culotte plastique transparente lui permet de voir ma couche nuit bien en place même si les témoins d’humidité trahissent le fait que je l’ai mouillée. Emilie décide qu’il n’y a pas péril et me propose de petit déjeuner avant qu’elle ne me change, ce que nous faisons. Le petit déjeuner pris Emilie m’escorte jusqu’à ma chambre, elle m’aide à enlever ma chemise de nuit et me fais allonger sur le lit. Je suis à nouveau nue, juste en couche devant elle et la situation me gêne mais pas Emilie manifestement. Elle détache ma culotte plastique puis coupe les adhésifs de la couche nuit avant de l’enlever. Ayant pris un bain hier soir, elle me propose juste de me nettoyer les fesses et de me mettre la couche de jour ce qu’elle fait avec des gestes rapides et précis. J’ai donc à peine le temps de savourer d’avoir les fesses libres qu’une nouvelle couche vient épouser mon anatomie intime. Emilie m’aide ensuite à m’habiller ce que je trouve prévenant mais presque trop, je n’ose lui en faire la remarque. Elle agrafe mon soutient gorge pendant que je mets ma jupe la plus longue dans la perspective d’aller faire des courses.

Une fois habillée, Emilie m’indique que mes heures de changes vont être un peu modifiées aujourd’hui du fait de mon réveil tardif. Je dois être normalement changée à 8H00, Midi, 16H00, et 20H00. Comme il est déjà 9H30, je ne serai changée qu’après le déjeuner exceptionnellement, ce qui fait que nous déjeunerons en ville et que nous repasserons par l’appartement pour le change vers 13H30, 14H00 avant de repartir faire du shopping. Nous quittons l’appartement et je suis Emilie qui semble connaître les magasins de Lyon comme sa poche. Je pensais que nous irions dans une galerie marchande style Galeries Lafayette pour être plus anonymes mais Emilie à une préférence marquée pour les petites boutiques, ce qui me stress un peu. Dans la première boutique où nous pénétrons, très chic au demeurant, nous sommes accueillies par une vendeuse charmante que connaît Emilie manifestement. Elle doit être une habituée car sa garde-robe, je l’ai remarquée, comporte des vêtements de cette marque connue. Emilie explique notre recherche et choisit des jupes de différentes tailles. Elle me fait entrer dans une cabine et me passe les jupes au fur et à mesure. Par chance, comme Emilie connait la « maison » la vendeuse ne reste pas collée à nous et nous laisse faire les essayages seules, ce qui m’évite de devoir faire attention à chaque geste susceptible de dévoiler la couche que je porte. Nous choisissons trois jupes différentes et Emilie va régler à la caisse une somme dont je n’aurai pas eu les moyens sans le laboratoire Hartmann. Nous poursuivons dans une autre boutique spécialisée dans les chemisiers, puis dans une dernière où nous achetons deux pulls, Emilie en prenant aussi un de son côté. Nous avons été efficaces et il est temps de passer à table. Nous visons un petit « bouchon » lyonnais pour manger un plat typique.
Après le repas, nous refaisons un crochet par l’appartement. Emilie dépose nos achats dans ma chambre et, ouvrant le placard prends une nouvelle couche pour me changer. Elle me propose aussi de porter dès cet après-midi des vêtements issus de nos achats du matin et me prépare donc une jupe, un chemisier et un pull. Elle m’aide à me déshabiller puis m’allonge en soutien-gorge et en couche sur le lit. A l’aide de ciseaux elle coupe les adhésifs et me libère de ma couche mouillée depuis 1 heure environ. Emilie me propose de passer aux toilettes pour la grosse commission ce que j’accepte immédiatement. A mon retour, je dois m’allonger sur la nouvelle couche préparée par Emilie. Celle-ci me talc et me crème avant de refermer la couche par les puissant adhésifs. Elle m’aide à nouveau pour m’habiller, je la laisse faire.
Nous revoilà prêtes pour la deuxième partie de notre shopping. Notre objectif est cette fois ci de trouver des culottes à mettre par-dessus mes couches. A mon grand soulagement, Emilie cette fois-ci ne vise pas des boutiques de lingerie où il aurait paru curieux que j’essaie des culottes de deux tailles au-dessus de ce que devrais porter. Nous allons au Printemps et choisissons des culottes en libre-service avant de rejoindre les cabines d’essayage. Emilie en prend tout un stock, des culottes simples en coton de différentes couleurs pour, me dit-elle, s’assortir aux couches. Nous prenons ensuite un thé avec une part de gâteau avant de rentrer à l’appartement.
Il est 16H00 passé lorsque nous sommes de retour et Emilie relève ma jupe comme elle en a pris l’habitude pour inspecter ma couche. Pour la première fois je crois celle-ci est encore propre et restera donc en place jusqu’à 20H00. La fin d’après-midi se passe à regarder un peu la télé avant que nous ne dînions. Juste avant le dîner, Emilie m’a mise en couche de nuit à 20H00 précise. La culotte plastique transparente qui recouvre ma couche est bruyante et émet ce bruit de plastique froissé caractéristique des couches. Heureusement nous sommes en intérieur et seules dans l’appartement.
La journée du Dimanche se déroule tranquillement, nous révisons un peu nos cours avant la reprise prévue le lendemain. La première semaine dans l’appartement se passe bien rythmé par les changes de mes couches et les cours à l’école. Chaque matin un coursier vient chercher le carton préparé par Emilie contenant mes couches mouillées emballés dans des sacs plastiques hermétiques, destiné au laboratoire d’analyse de chez Hartmann. Par curiosité, je demande à Emilie si le coursier sait ce que contient le carton, elle m’indique que non à mon grand soulagement. Elle m’indique d’ailleurs qu’une visite du laboratoire situé à Lyon est prévu la semaine prochaine.
La visite du laboratoire est prévue pour mercredi après-midi. Émilie et moi nous préparons et quittons l'appartement pour prendre la direction de laboratoire Hartmann situé en banlieue sud de Lyon. Arrivées sur place une hôtesse nous accueille dans un bâtiment de verre et de métal très futuriste. Elle nous demande de patienter quelques instants dans la salle d'attente je ne suis pas très à l'aise dans cet environnement mais n'en laisse rien paraître à  Émilie qui elle connait les lieux.
Quelques minutes plus tard une grande jeune femme brune aux yeux bleus apparaît dans la salle d'attente et viens nous saluer. Elle fait la bise à Émilie qui la connaît particulièrement bien manifestement et me tend la main en me souhaitant la bienvenue au laboratoire Hartmann. Elle nous demande de la suivre et nous pénétrons à l'intérieur du bâtiment. Celui-ci est vaste lumineux manifestement très moderne et de nombreuses personnes sont en train de travailler dans des bureaux ou des laboratoires, tout ceci est extrêmement professionnel. La responsable du laboratoire s'appelle Laure,  elle nous fait pénétrer dans son bureau spacieux et confortable. Laure se déclare ravie de faire enfin ma connaissance et indique qu'elle est particulièrement heureuse que j'ai accepté ce nouveau test de longue durée en compagnie d’Emilie. Elle m'explique ensuite que ces tests sont primordiaux pour la validation de ces nouveaux produits de la gamme « teen » et que ce test est absolument nécessaire pour mettre ce nouveau produit sur le marché. Elle me demande comment se passe le test pour le moment.
Je lui réponds que le test se passe bien spécialement grâce à Émilie qui est extrêmement douce attentive et discrète ce que j'apprécie évidemment. Cependant je lui indique que je redoute un petit peu la durée de ce test et les six mois nécessaires pour la validation du produit. Laure me sourit et m’indique que c'est tout à fait légitime mais que tout se passera pour le mieux elle n'en doute pas. Elle me demande maintenant de me mettre debout et se levant contourne dans son bureau me demandant si elle peut vérifier l'état de ma couche. Sans attendre la réponse un peu comme Emilie elle lève ma jupe.

Émilie se lève également et vient se placer dernière-moi en fin de tenir ma jupe relevée et de faciliter ainsi l'accès de ma couche a Laure.  Celle-ci baisse rapidement la culotte de coton blanc qui recouvre ma couche de jour de couleur rose pâle. Les indicateurs d'humilité révèlent vite  que j'ai largement mouillé ma couche celle-ci mettant été mise à 12:00 il est déjà 16:00 et comme d'habitude j'ai fait pipi dans ma couche. Cela fait sourire Laure et elle m'indique que je suis fidèle à ma réputation de large mouilleuse de couche. Cette remarque me fait rougir.

Laure indique à Émilie que nous allons nous diriger vers la salle de change afin que je puisse être à nouveau changée et profiter d'une couche propre. Nous nous dirigeons maintenant vers une salle d'examen bénéficiant d'un lit de type lit d'hôpital. Laure m'a dit de m'allonger dessus pendant qu'elle amène le matériel nécessaire à Émilie afin de me changer. Celle-ci ouvre ma couche grâce à des petits ciseaux.
Une fois ma couche mouillée enlever et confier a Laure, Émilie me nettoie l'entrejambe avec une lingette puis me talc et me crème. Elle place une nouvelle couche de jours de couleur rose pâle sous mes fesses et la referme et la fixe de façon très ajustée et serrée.
Émilie me renfile ma culotte de coton blanc puis je suis autorisé à redescendre du lit et rajuster ma jupe. Nous suivons Laure dans un autre département du laboratoire afin qu'elle m'explique qu’elles sont les analyses pratiquées sur la couche. Le point le plus important m’indique-t-elle une fois arrivé et de peser la couche afin de savoir quelle quantité d'urine a été absorbés. Joignons le geste à la parole elle pose ma couche fraîchement défaite sur une balance.
La quantité d'urine est déterminée en faisant la différence entre le poids de la couche mouillée et le poids du produit propre m'indique Laure de façon très précise. Elle note le résultat de la balance sur une feuille de papier et ensuite rentres les données dans un ordinateur se situant dans le laboratoire. Laure pose ensuite la couche mouillée sur une table d'examen puis grâce à un cutteur, l’ouvre afin de voir l'intérieur du change et la matière absorbante. Elle me montre la couche ainsi ouverte afin que je puisse voir comment l’urine a été absorbée.
Laure m’indique  enfin que quelques morceaux de la garniture sont ensuite prélever afin d'être analysés en laboratoire pour vérifier la composition chimique. L'ensemble de ces tests sont absolument nécessaire pour valider le produit auprès de l'agence de santé. Je n'imaginais pas que c'était aussi technique.
Nous poursuivons la visite du laboratoire en compagnie de Laure et d’Emilie,  nous arrivons maintenant dans une espèce de grande pièce sorte de laboratoire de test et d'élaboration de nouveaux changes. Nous en voyons de toutes tailles de toutes textures de toutes couleurs et de toutes formes également entre les mains des différents techniciens de laboratoire. Je n'imaginais pas qu'il y avait autant  de sorte de couches différentes. Laure ne s’attarde pas trop en explications et nous regagnions bientôt son bureau. Elle souhaite savoir si la visite matin vu je lui réponds par l'affirmative
De retour dans son bureau, Laure nous  propose de prendre un thé ainsi que quelques petits gâteaux qu'elle a achetés spécialement pour nous à la boulangerie du quartier. Nous acceptons Émilie et moi avec plaisir et nous remercions Laure pour cette délicate attention.
Du coup Laure prend son téléphone et appelle son assistante qui revient quelques minutes plus tard avec  un plateau chargé de tasse de thé et des fameux petits gâteaux. Nous les dégustons avec plaisir et papotons maintenant tranquillement avec Laure qui se révèle être une personne charmante. Émilie du coup me propose que nous invitions Laure à dîner la semaine suivante. Je trouve l'idée excellente et je donne mon assentiment bien évidemment à cette invitation. Laure nous remercie et se déclare ravie de pouvoir venir dîner avec nous. Rendez-vous est pris pour mardi prochain.
Émilie et moi quittons le laboratoire et reprenons le bus en direction de notre appartement. Sur le trajet du retour le thé me donne à nouveau envie de faire pipi et ne je ne peux pas me retenir de faire dans ma couche. Émilie est toujours attentive aux petits signes, le remarque, et me sourit. Elle m'a indiqué que je serai changé à 20h00 comme le prévoit le programme de test « teen ». Je lui indique que je n'ai pas fait un énorme pipi et que cela tiendra bien évidemment jusqu'à ce soir mais que je serai plus rassurée d'être rentrée à la maison avec ma couche mouillée. Déjà le bus nous  dépose devant notre domicile et nous prenons l'ascenseur pour remonter dans notre appartement.
Je suis toujours plus soulagée d'être à la maison lorsque j'ai une couche mouillée. Même si la capacité d'absorbsion est grande j'ai toujours la hantise d'avoir une fuite en extérieur. Émilie commence d'ors et déjà à préparer le dîner pendant que je vais réviser mes cours. Nous dînons rapidement d'un succulent dîner rapidement préparé par Émilie fine cuisinière.
Le dîner  pris je suis changée de ma couche d'ors et déjà mouillé comme indiqué précédemment et Émilie m'autorise à aller aux toilettes ce qu'il est permis deux fois par jour pour la grosse commission. De retour je suis mise dans une couche nuit dont j'ai du mal à m’habituer à l'épaisseur. Émilie a ramené du laboratoire une nouvelle sorte de culotte plastique à mettre par-dessus. Contrairement à la précédente celle-ci n'est pas équipée de bouton pression.
Cette nouvelle culotte  plastique ressemble aux culottes de coton que je porte dans la journée au niveau de la forme. Elle est toujours faite de plastique transparent avec des élastiques à la taille et au niveau des cuisses. Elle me semble particulièrement serrée lorsqu'Émilie ne la met au-dessus de la couche nuit. Cependant je ne suis pas au bout de mes surprises lorsque je vois Émilie prendre en main un sèche-cheveux. Elle met en route et dirige le sèche-cheveux vers cette culotte plastique dont le plastic se rétracte à la chaleur. De ce fait, la culotte se serre progressivement contre ma couche ma taille et mes cuisses. Du coup ma couche est littéralement prisonnière de cette culotte plastique thermoformée.
Je demande à Émilie à quoi sert cette culotte en plastique si spéciale. Celle-ci ne répond qu’elle fait partie d'une série d'accessoires liés à la gamme « teen » que nous sommes en train de valider. Je trouve cet accessoire  « assez curieux » mais je ne pose  pas plus de questions si ce n'est que cette culotte plastique et particulièrement serré et enserre complètement ma couche ainsi que mon bassin. La couche en place je vais jusqu'à la salle de bains histoire de me brosser les dents et de me démaquiller avant d'aller me coucher toujours avec cette grosse couche sur les fesses.
Du fais de ces nouvelles culottes plastiques thermoformés la couche est encore plus serrée que d'habitude sur mes fesses et sur mon entrejambe. Cela me gêne plus encore que d'habitude et le frottement sur mon pubis est particulièrement irritant. De plus avec cette culotte plastique m’enserrant la taille, je ne peux absolument pas glisser une main dans la couche afin de me soulager et c'est relativement difficile à supporter. Je réalise que cela fait maintenant 10 jours que je suis en couche-culotte permanentes et que je commence déjà à trouver le temps long.

Contrairement aux précédents tests Émilie ne m'a pas proposé de me passer une crème désensibilisante sur le clitoris et je commence à me demander si je ne vais pas la solliciter à ce niveau-là afin de réduire le frottement et l'irritation de mon clitoris. Je repousse cependant l'idée de le faire cette demande tellement cette situation embarrassante me gêne. Toutefois  je réalise que sans cette aide je ne serai pas capable de porter des couches de façon permanente et que je serai très rapidement excitée par le port de ces couches sont pouvoir me soulager.
Le lendemain matin je me réveille et déjà Émilie ce présente dans ma chambre afin de me retirer ma couche de nuit. Elle me demande comment cela s'est passé et si cette nouvelle culotte plastique est efficace. Je lui dis que je la trouve particulièrement serrés et que cela m'a gêné lors de mon sommeil. Elle prend note de ma remarque et,  déjà, avec la paire de ciseaux habituelle, elle commence à découper avec la culotte plastique seul moyen de me la retirer et d'avoir accès à la couche de nuit. Elle coupe également les adhésifs de celle-ci afin de me libérer de ma couche largement mouillé comme à chaque nuit. Je n'ai plus honte de l'état de ma couche étant maintenant habituée à la mouiller abondamment. Elle me laisse aller aux toilettes et pendant ce temps prépare la nouvelle couche de jour qui m'est destinée. Lorsque je reviens je m'allonge à nouveau sur le lit et avec les gestes précis qui la caractérisent, Émilie me positionne une  nouvelle couche de jour de couleur rose pâle.

La couche mise en place Émilie m’aide à m'habiller comme elle en  a pris l'habitude. Je me laisse faire et la laisse m'aider  à enfiler mes habits. Rapidement nous petits déjeunons afin de ne pas être en retard à nos cours.

Le soir à la maison je n'ose pas trop aborder le sujet de mon clitoris sensible avec Émilie. A ma grande surprise c'est finalement elle qui vient sur ce thème. En effet elle reçoit chaque jour les résultats des tests de laboratoire sur son ordinateur. Comme on me l'a expliqué lors de la visite du laboratoire chaque couche est analysée en détail. Il se trouve que sur certaines d'entre elles et notamment les dernières des traces de ce cyprine ont pu être décelées. Cette information me fait rougir jusqu’aux oreilles et Émilie sourie de ma réaction. Elle me rassure cependant en me disant que c'est parfaitement normal.
Elle m'a dit que j'ai été choisie pour ce test notamment parce que je suis encore vierge et que je n'ai pas commencé ma sexualité. C'est un point extrêmement important pour pouvoir réaliser ce test dans la durée sans contraintes. Cependant comme tout à chacun j'ai moi aussi des choses qui m'excitent. Émilie le comprend parfaitement et me dit que si nécessaire elle ne laissera des moments d'intimité pour que je puisse me soulager. A ces mots je fais une mine qui doit paraître tout à fait extraordinaire car elle sourit de me voir si gênée d’aborder ce sujet avec elle. Elle m'indique qu'elle m'en parle d'autant plus ouvertement qu'elle aussi à recours à quelques artifices pour se soulager lorsque la pression et les envies sont trop fortes.

Émilie m'a dit aussi qu'elle peut me passer de la crème sur le clitoris comme elle l'a fait lors du précédent test si je préfère. Je lui indique que cette solution à ma préférence même si cela la fait forcément sourire. Bien que très informée en tant qu'infirmière, ce sujet n'est pas si facile pour moi et Émilie l'a bien compris. Elle a la délicatesse de ne pas insister, je pense qu’elle n'en pense pas moins. Elle doit me trouver très cruche.
C'est ainsi que lors de chaque nouveau change dorénavant Émilie me crème soigneusement afin de prévenir tout irritation bien évidemment  mais également afin de désensibiliser mon clitoris objet de tous mes tourments. Elle ne revient pas sur le sujet mais je reste intriguée par les artifices dont elle a parlé, j’en conclue qu’Emilie doit utiliser des sex toys. Du coup je me pose aussi quelques questions quant à sa sexualité ne lui connaissant aucun petit ami. Cependant c'est un sujet que je n'ose aborder avec elle malgré notre proximité. Je me propose cependant de faire une petite enquête afin de mieux découvrir qui est c'est Émilie qui s'occupe de moi depuis quelques semaines maintenant et que je connais finalement si peux.
Le mardi suivant comme convenu nous recevons Laure à dîner. J’aide Emilie à la préparation du repas bien que celle-ci soit bien meilleure cuisinière que moi. Laure est invitée pour 20:00 l'heure exacte de mon change. Je m'en inquiète auprès d’Emilie mais celle-ci m’indique que ça sera l'occasion pour Laure de voir le change et de voir comment se comporte la couche de nuit mise sur moi. Elle l'a volontairement invité à cette heure-ci afin qu'elle puisse le constater de ses yeux et éventuellement apporter des éléments correctifs. Je suis gênée à idée d'être changée devant Laure mais je fais contre mauvaise fortune bon cœur.
Le soir venu à 20:00 précises on sonna la porte. Émilie va ouvrir à Laure qui arrive avec un grand bouquet de fleurs. Elle fait la bise Émilie et me propose de faire de même maintenant que nous nous connaissons. J'accepte et l'embrasse, elle porte un parfum très délicat que je reconnais comme étant j'adore de Dior un des parfums que je porte aussi de temps en temps. Pendant qu’Émilie va mettre les fleurs dans un vase je discute un petit peu avec Laure. Celle-ci m'indique qu'elle est ravie de pouvoir dîner en notre compagnie et assister au change pour voir comment se comporte la couche nuit  dont elle a la charge. Cette perspective m’enchante un peu moins mais je ne lui en dit mot. Déjà Émilie regardant l'heure m'indique ma chambre ton petit signe de la tête signifiant ainsi que l’heure de mon change est arrivée.
Laure est à présent à côté du lit pendant que je m'y allonge et qu’Emilie prépare le nécessaire pour me changer. Elle découpe délicatement les adhésifs de ma couche de jours puis, enlevant la couche la place dans le sac plastique prévu à cet effet. Laure silencieuse ne rate rien du change que je subis. Délicatement Émilie passe une lingette puis elle talc et crème mon entrejambe. Vient ensuite mon clitoris depuis qu’elle me le désensibilise. Enfin elle glisse une  couche de nuit sous mes fesses puis la rabat et la fixe avec les adhésifs, le tout avec des gestes précis. Laure, en  professionnelle, doit apprécier l'expérience et la dextérité d'Émilie.
J'apprécie pour ma part que l'opération ne dure pas trop longtemps appréciant moyennement d’être exposée dans mon intimité aux yeux de ces deux femmes. La couche nuit mise en place c'est maintenant la culotte plastique qui est enfilée péniblement par Emilie sur ma couche tant elle est ajustée. Elle attrape ensuite le sèche-cheveux et commence à sécher la culotte plastique afin qu'elle se rétracte et qu’elle enferme parfaitement  la couche nuit afin que celle-ci reste bien en place durant la nuit.
Une fois opération terminée je peux me redresser, descendre du lit et rajuster ma jupe puis suivre les deux femmes vers le salon où nous allons prendre l'apéritif. Laure trouve la couche de nuit relativement discrète. Je ne partage pas forcément son avis mais effectivement sous ma longue jupe elle paraît presque facile à masquer. Cependant mes jambes restent largement écartées par l'épaisseur de la couche à mon entrejambe qui me gêne. Il faut reconnaître que cette nouvelle culotte plastique thermoformée  présent avantage de ne pas faire de bruit et de compresser un tout petit peu le volume de la couche. Après l'apéritif nous passons à table.
Pendant le dîner, mise en confiance par Laure et par Émilie j’ose m’aventurer sur des sujets que je n'avais pas abordés avec Émilie jusqu'à présent. Je pose pas mal de questions à Laure responsable de ce programme au sein des laboratoires Hartmann. Je lui demande notamment ce que signifie ce nom de code de « teen » qui correspond aux couches que je dois tester. Je n'ai pas fait du tout le rapprochement mais il faut voir dans ce mot l'abréviation de teenagers ce qui signifie adolescents en anglais.
Laure me confirme qu'il s'agit d'une gamme de couche destinée aux adolescentes. Je suis un peu intriguée n’ayant  pas connaissance que les adolescentes devaient forcément porter ce type de protection et je m'interroge à ce sujet. Laure dans un sourire m’explique que ces besoins vont aller en s'accroissant dans les années à venir mais reste relativement énigmatique sur ce sujet. Cela aiguise ma curiosité mais je comprends que je n’en saurai pas forcément plus de la part de cette femme intelligente et belle mais qui sait rester aussi secrète.
Le dîner s'achève dans la bon humeur, Laure est vraiment une convive très agréable. C'est une femme  intelligente et cultivée qui me fait une forte impression. On sent entre elle et Émilie une complicité relativement forte fruit de leur travail en commun manifestement. Laure avant de prendre congé me demande si tout se passe bien dans ma couche. Je suis un peu surprise par cette question avant d'avoir plus répondre elle soulève ma jupe et vérifie l'état de ma couche au travers de la culotte plastique transparente. Celle-ci est déjà un tout petit peu mouillée mais rien ne le laisse paraître à l'extérieur les témoins d'humidité n’étant pas attaqués. Laure baisse ma jupe me félicite et me souhaite une bonne fin de soirée à moi aussi qu’à Emilie. Elle prend maintenant congés.
Laure partie, Émilie et moi débarrassons la table et rangeons l’appartement avant d'aller nous coucher. Le lendemain matin c'est à nouveau une couche largement mouillée que j'ai à présenter à Émilie qui l'a défait puis me change puis remet une nouvelle couche de jour comme d'habitude. Une nouvelle journée commence pour moi en couche cette fois-ci bien crémée pour ne pas que mon clitoris me joue des tours.

Dans les jours qui suivent un autre sujet me préoccupent je constate que, petit à petit, je perds le contrôle et fréquemment je fais pipi dans la couche sans même m'en rendre compte. Ce phénomène apparu la nuit ne m’a pas inquiéter dans un premier temps. Mais maintenant il s'avère que j'ai également ce même type de fuite dans la journée sans même m'en rendre compte. Je m'en ouvre à Émilie et je m'inquiète de cette perte de contrôle si rapide.
Celle-ci ne s'en alarme pas. Elle m'a dit que  lors de tests similaires les mêmes réactions été observées. Pour me rassurer Émilie m’assure qu'une rééducation périnéale sera absolument nécessaire au bout de six mois mais que je recouvrerai le contrôle total de ma vessie. Ces paroles me rassurent mais en même temps une pointe inquiétude reste ancrée dans mon esprit. Il n'est pas forcément évident pour moi de ne pas me contrôler notamment dans la journée. Je constate maintenant régulièrement que je fais pipi sont plus m’en rendre compte.
Quelques temps plus tard, se seront d’autres découvertes qui m’alarmeront et qui vont faire prendre à ce test une tournure très inattendue.